C’est une question qui ne semble toujours pas réglée de manière claire dans la communauté. En attendant, il faut bien travailler !
Du coup je te propose un retour d’expérience sur notre manière de travailler.
Merci Jeremy pour ta question qui nous donne je sujet du jour.
Si toi aussi tu veux des réponses aux questions que tu te poses, envoie les moi à question@artisandeveloppeur.fr et j’en ferai un épisode !
Se former dans la maison des compagnons : https://maison.artisandeveloppeur.fr
Rejoindre la communauté des artisans développeurs :
https://artisandeveloppeur.fr
hello
Après 20 ans de carrière dans l’IT, ma conclusion sur les contrats agiles est celle-ci
https://www.soagile.eu/blog/story-point-ce-nest-pas-de-la-charge
voir dans les commentaires
»
C’est comme les fameux « contrats agiles ». Il n’y pas vraiment de solution. Si on voulait être honnête, on reconnaitrait aisément que la vraie agilité se conclue simplement en T&M à travers la construction durable une relation de confiance. Le contrat en bande passante est le premier pas vers une prise de conscience, du fait de l’abandon de périmètre fixe. Mais dans les faits, il ne résout pas les tensions entre client et fournisseurs. On revient toujours à la guéguerre de l’étalonnage du point, de la « Definition de Prêt » qui prend des proportions démesurées. La encore ma préférence irait plutôt au prix à l’itération, car ça limite les débats stériles sur les détails.
»
Après, j’ai l’impression que ça dépend beaucoup des contextes. Deux exemples extrêmes :
– une multinationale qui contractualise des centaines de milliers d’euros avec une grosse ESN (plutôt ce qui est évoqué ici)
– une petite entreprise qui contractualise avec une petite ESN ou un indépendant pour un projet limité
mes deux centimes 😉